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Une fanfiction est une manière pour la culture de réparer les dégâts commis dans un système où les mythes contemporains sont la propriété des entreprises au lieu d'être celle du peuple.
 
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 Claymore: Devil never cry

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Gust

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Claymore: Devil never cry Empty
MessageSujet: Claymore: Devil never cry   Claymore: Devil never cry EmptyMer 7 Oct - 14:23

Donc voilà c'est chtite fanfiction by me vous me direz ce que vous en pensez.^^


Claymore : Devil never cry.



Chapitre I : Première mission.



VERSION OFFICIELLE DES FAITS :

Flora a laissée une cinquantaine de yoma lui passer sur le ventre durant une semaine et en profita pour expérimenter toutes sortes de pratiques et de positions durant ses ébats avec les monstre en chaleur. Ces faits eurent lieux dans une forêt de l’ouest. Deux de ses ovules féconds furent donc fécondés les autre non.

Neuf mois plus tard naquirent les faux jumeaux Dante et Virgil deux bâtard et deux futur mauvaises graines mal éduqués par une mère incompétente. Flora est morte lors d’un incendie qui toucha la ville sainte de Rabona où elle vivait. Seul Dante le bâtard y survécut.

Dante est un dangereux yoma qu’il est préférable de ne pas approcher et qui ne doit jamais et en aucun cas se reproduire au risque de polluer le sang pur des humains.


VERSION REEL DES FAITS :

Seytan était un ange noir, une race spéciale créée par l’organisation pour remplacer les claymores mais devenus incontrôlables on abandonna le projet. Tombant amoureux de la belle et jeune Flora ils eurent des jumeaux dix mois après leur rencontre. Dante et Virgil. Aimés de leurs parents et très bien élevés, ils vécurent des jours heureux.

On ignore à ce jour pourquoi Seytan, Flora et Virgil sont morts. Il ne reste donc que Dante surnommé « Dante la bâtard ». On ignore son véritable caractère également.


TOUTEFOIS :

Seuls la version officielle des faits est apprises par les humains depuis leur plus tendre enfance et des siècles. La source reste inconnue à ce jour. Tout le monde connaît cette version et uniquement cette version des faits. Le seul à savoir la vérité n’est d’autre que Dante.

Et comment prouver que l’on a raison quand le monde est convaincu que l’on a tord et que l’on manque cruellement de preuves pour démontrer que nous ne sommes pas ce pourquoi un connard nous fait passer ?







INTRODUCTION :



Un œil argenté fixe l’horizon incertain. Au loin une ville géante aux immense bâtissent qui heurtent les nuages, étendant ses reflet sur l’eau verdâtre d’une bais large et profonde enserrée dans un carcan de béton et d’acier rouillé. Il haïssait ces villes surpeuplées. Marchant au bord du béton armé, il réfléchissait à ce qu’il deviendrait plus tard. Rien. La haine, l’intolérance, la bêtise, la cupidité, l’envie de pouvoir absolu sur tout avaient conduits l’humanité au bord du gouffre. Nous étions en 2197. A cette époque yomas et claymores figuraient comme des légendes sur lesquelles on crachait. Les seuls monstres respectés car craints de tous étaient les être éveillés qui détruisait l’humanité en état de survie et en guerre totale contre les démons. Le jeune homme aux oreilles d’elfe, cheveux mi-long tombant en longs pique, visage fin et carré légèrement arrondis, long manteau en cape noire tombant, détestait l’air lourd et pesant empestant les hidro-carbures artificiel polluant l’air et générant des cancers.

Son épée argenté sombre aux tranchants monomoléculaire aussi longue que lui et large de 40 centimètres pour un poids de quarante trois kilos était redoutable au combat. Il la maniait sans problèmes grâce à sa grande force et ses techniques de combats faisaient de lui un adversaire dangereux. Né de l’union de ses parents qui le conçurent sous la pleine lune au bord d’une rivière il ne se passait pas un jour sans qu’il se remémore cet instants fatidiques où il vit toutes sa famille périr. Il se rappellerait éternellement du monstre qui en était coupable. Il quitta la rive bétonnée pour venir sur une herbe morte et desséchée. Sa moto une superbe bécane noire luisante au design allongé et deux belles ailes sur les flanc l’attendait. L’enfourchant il démarra bruyamment. Une bécane écolo, le pied total dans un monde capitaliste, totalitaire et réactionnaire ! Il ne consommait que ce dont il avait besoin. Il était libre comme le vent alors que les autres restaient enchaînés et s’y complaisaient.

Les guerres ravageaient la planète pour ses maigres ressources surexploitées par les humains. Il ne s’en délectait pas pour autant, du malheur de ceux qui le jugeaient sans le connaître. « Dante le bâtard » tel était son surnom honteux. Ils faisaient peser sur ses épaules le honte d’être fils de claymore et, soit disant, de yoma. L’insulte « fils de pute » aurait été plus exacte pour le définir de part la version « officielle » des faits. Qu’ils aillent périr en enfer ces rat putrides ! Ils l’insultaient sans même le connaître en prétendant le connaître. Mieux encore à peine il disait quelques mots qu’ils étaient à même de dire si oui ou non il était « évolué » etc... Que de prétentions ! Comme la prétention d’être tolérant et ouvert d’esprit en rejetant un être qui n’avait commis aucun crime si ce ne fut celui d’être différent.

Ils l’attendrissaient, ces vermines faible, indisciplinés, puérils… ces vulgaire barbares qui le définissaient comme un barbare. Quelle sinistre ironie ! Être traité de tous les noms par ceux qui le représentaient si bien sans même s’en rendre compte ! Le comble ! Vivre en paria dans un monde immonde, dans une société sclérosée incapable d’évoluer dans le bon sens. Il fusait en direction de son petit chez lui que nombre de mécréants venaient saccager régulièrement. Pourquoi les défendait-il ? Pour quelle raison venait-il à eux ? Ne ferait-il pas mieux de les laisser mourir dans leur coin grâce aux êtres éveillés ? Ce genre de pensées l’accablaient souvent. Ses parents, eux, eurent le chance de vivre comme de humains parmi les humains ce qui n’était pas son cas.

Se baissant d’un coup, il évita de justesse un projectile lancé par un éveillé prenant sa forme combative. Arrêtant sa superbe moto flambant neuve, il sauta haut dans les cieux avant de s’abattre à pleine vitesse sur une cuirasse qui ne fit pas le poids face à son épée très, très, coupante. L’être éveillé gémit dans son essences fusant vivement de ses plais béantes.

_Eveillé : Impossible ! Un yoma vient de me… battre ?! Dante le bâtard, tu mérites ta réputation ! Non, c’est en dessous de la réalité tu es plus dangereux que ça ! Pourtant tes géniteurs n’étaient pas si puissants sur tout celui qui t’a engendré parmi les cinquante yoma !

_Dante : Fermes-là ! Les choses ne sont pas ce que l’on croit qu’elles sont ! Ma mère n’était pas une pute à yoma !

_Eveillé (agonisant) : Alors pourquoi tout le monde raconte ça si ce n’est pas la vérité et qui a pu répandre l’information sur plusieurs siècles ?

_Dante : J’ai ma petite idée là-dessus, meurt, sale monstre !

La lame argenté foncé s’éleva dans les cieux sur le point de décapiter la bête qui dit ces dernières parole avant le trépas.

_Eveillé : Le monstre, c’est toi !



Entrant dans une vaste pièce ronde il envoya son épée se ficher dans un mur lacéré d’entailles plus ou moins profondes. On distinguait un bureau noir près d’un mur au fond et sur la droite un écran transparent tridimensionnel haut de gamme avec un ordinateur quantique ultra rapide et une pile de films de jeux et de manga tous stratégie et SF. A gauche trônait un fauteuil fort confortable. Sa peau marron virait au noir, ses argenté foncé scintillaient de puissance. Il s’allongea sur le fauteuil pour finalement s’endormir et glander comme il le faisait si bien. Ne trouvant point de travail il lui serait impossible de payer son loyer exorbitant sauf en tuant des êtres éveillés. Et justement il tirait au maximum sur le prix ce qui lui assurait un bon revenu pour subvenir largement à ses besoins.
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