Paranoïa

Prologue:

Le jour venait de se lever quand Ziva émergea de son profond sommeil. Elle commença à s’étirer tranquillement. Elle ne prit même pas la peine d’ouvrir ses yeux pour le faire. Elle se sentait incroyablement fatigué et n’avait pas envie de se lever maintenant. Face aux étirements, ses membres craquèrent comme si elle ne l’avait pas fait depuis une éternité. Elle se remit en boule dans la couette qui était chaude et resta quelques minutes de plus ainsi. Elle se décida enfin à ouvrir les yeux. Mais elle le fit très lentement car une lumière vive l’aveuglât. Quand elle s’habitua à la lumière, elle remarqua qu’elle n’était pas chez elle, qu’elle n’était pas dans son lit et qu’elle portait une tenue bien différente de celle qu’elle portait habituellement. Malgré l’impression de fatigue, elle se redressa et regarda plus attentivement la pièce. Les murs étaient tous blancs et la chambre était extrêmement petite. Elle était carrée et Ziva la compara à une cage, car aucun autre mot ne pouvait mieux la définir. Sur la droite, il y avait une porte en bois qui se trouvait à l’opposé du lit. Ziva se leva et du résister pour ne pas s’écrouler sous le poids de son corps. Elle s’avança vers la porte et essaya de l’ouvrir. Celle-ci ne bougea pas. Après une analyse rapide, Ziva vit qu’il n’y avait aucune serrure de son côté. Elle en conclut que la porte était verrouillée de l’extérieur. Par expérience, elle savait que le seul moyen pour sortir était que les personnes qui l’avaient enfermée viennent lui ouvrir.
Elle retourna donc s’asseoir sur le lit et prit sa tête entre ses mains. Plusieurs questions se bousculaient et elle espérait qu’elle aurait bientôt les réponses. Et la première des questions était : Pourquoi était-elle enfermée ici ?

Au bout d’une heure, elle ne tenait plus en place. Elle tournait en rond encore et encore. Quand, elle commençait à avoir le tournis elle changeait de sens en grognant. Elle était énervée et cela se voyait dans sa démarche.
Elle entendit enfin des pas et se stoppa net. Elle s’avança vers la porte et cogna dedans pour montrer qu’elle était bien présente et surtout qu’elle était réveillée. Elle entendit les pas se rapprocher. Elle s’éloigna un peu de la porte au cas où et attendit. Elle entendit le cliquetis des clés dans la serrure et la porte bougea enfin.
Quand la personne rentra dans la pièce Ziva eut un sursaut de surprise.

-Tony ? Lâcha-t-elle, hébétée.

Oulala!!! Voilà un début qui amène plein de questions! J'ai hâte de voir ce que tu nous réserve pour la suite!!!