Proses Improvisées sur MSN (à deux mains)

Nombre de messages : 21 Age : 40

Alors ici, je mettrai les proses msn que je fais avec une amie... bon on ne l'a fait que cette nuit pour la première fois au feeling, mais c'était sympa x)

Céline & ¤ me ¤.

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Proses N°1

¤ Tu postes ? ¤
Non je flanches comme un palmier sous la pluie

¤ Et tu persistes à résister aux tourmentes du vent.... ¤

Oui, l'esprit de contradiction s'est niché dans mes épaules
¤ Fielleux compagnon qui susurre et murmure une veille inespérée ¤
et qui pousse les limites à s'effriter dans mes mains pour devenir de la terre sous mes pas vagabonds

¤ Le Diable lui-même ravirait cette présence, pour se repaitre de l'imaginaire flottant dans l'oublie de ces fragiles secondes ¤
Mais le diable n'a pas ce pouvoir et cette attraction. L'oubli n'est accordé qu'à ceux capables d'expier leurs plus noires pensées.
¤ Aussi souffle-t-il avec frénésie, tel un loup affamé de chairs rosissantes, pour la faire fuir et disparaître. S'il ne peut l'avoir, pourquoi la mortalité aurait-elle le droit de sentir ses doigts frémissant d'une froideur brûlante effleurer la courbe de sa nuque ? ¤

Samedi 2 août 2008, à plus ou moins 2h du matin.

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*applaudit* Très sympa Miamchou, ça me change pas tellement de Liam démon rit

Dis tu veux pas viendre sur msn, j'ai besoin de ma muse secache

Nombre de messages : 21 Age : 40

Mdr x) ..... ah ben que veux-tu, c'est avec elle que j'ai commencé à faire mes génialissimes métaphores, donc bon x)

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Proses N°2
Poème à deux

¤ Sous le crépuscule du ciel,
C’est ton visage qui s’est dessiné,
Comme une étincelle,
Celle de nos espoirs avoués.

« Je te protégerai n’ai pas peur,
Je reviendrai te chercher, »
Ces mots que tu m’as presqu’glissé,
Dans le creux de tes bras cajoleurs. ¤

C’est l’amertume qui prend feu,
Comme des diables solitaires
Et qui sèment dans tes yeux,
Cette couche de poussière.

Et ces monstres de Vent,
Aux baisers de Judas,
Sont une bande de serpents,
Faits d’écailles d’ipéca.

¤ Dans leurs yeux de catin,
C’est ces autres qui pleurent,
Jusqu’à en arquer les reins,
Dans l’espoir qu’ils ne meurent.

Et dans des draps satinés,
Là où s’écoulent les heures,
Voir tes traits se dessiner,
Faible reflet de nos cœurs. ¤

La lune surgit railleuse,
Sévère, austère, teigneuse.
Un halo vermillon,
Qu’une piteuse illusion.

Le soleil se lève roux
Au-dessus des collines,
Il chasse ces iris fous,
Et rétablit nos cimes.

¤ Pour permettre à la pluie,
Cette rosée du matin,
De pouvoir encor’ t’étreindre,
Douce et fragile main

Chassant la solitude
Pour qu’éclatent nos espoirs.
Vaste et doux prélude,
Qui brisera le miroir

De nos chaînes brisées :
Pour notre liberté… ¤

Ecrit sur VK, sous les noms de Clide & Ambroisine, sous l'intermédiaire de lettres.